Le Parlement de l'Empire des étoiles, à Strasbourg, image de la folie et de la démesure de l'utopie européiste.
A l'approche des élections européennes, la propagande européiste a débuté dans les médias. Le procédé est simple, toujours le même : culpabiliser les souverainistes et faire croire que ceux qui veulent sortir de l'Union européenne et de l'euro sont des populistes ou des fascistes.
C'est ainsi que nous avons récemment eu droit, sur Arte à un tour d'Europe du "populisme", de Marine Le Pen (France) à Victor Orban (Hongrie) en passant par Geert Wilders (Pays-Bas), sur fond de musique sinistre, pour démontrer au bon peuple qu'hors de l'Union européenne, point de salut.
Ne nous laissons pas prendre à ces ruses grossières. Non, la volonté de sortir de l'Union européenne et de l'euro pour recouvrer notre souveraineté territoriale et monétaire ne relève ni du populisme, ni du fascisme.
C'est l'Union européenne avec sa commission de technocrates non élue (Bruxelles) qui dicte sa loi aux peuples, sa banque centrale (Francfort) qui décide à la place des gouvernements nationaux de leur politique monétaire qui est totalitaire.