"En entendant tout à l’heure des extraits de discours d’Hugo Chavez et en entendant sa voix, je mesurais à quel point elle est différente d’un discours de
Pierre Moscovici ou de François Hollande, et franchement je ressentais un enthousiasme beaucoup plus grand."
"Premièrement il était réélu légalement, j’entends tout un ensemble de discours qui le présentent comme un caudillo potentiel, et surtout, dans un monde
où les antagonismes de classe sont beaucoup plus marqués encore, pour des raisons historiques, et où la pauvreté des peuples atteint des degrés relativement inimaginables pour nous, son
premier souci n’a pas été de dire au peuple vénézuélien, j’ai compris votre message, ce qui vous intéresse en premier c’est la légalisation du cannabis ou l’homoparentalié..."
"En Amérique Latine, contrairement à la gauche occidentale, les différentes gauches ont su conserver un rapport minimal avec la vieille tradition
socialiste, dans laquelle la notion de patrie joue un rôle central."
"Si j’écoute un homme de gauche parler aujourd’hui, on le reconnait au fait qu’il ne peut pas faire trois phrases sans utiliser les verbes discriminer et
stigmatiser. Je viens de relire les huit tomes du Capital, j’ai pas trouvé ces deux mots une seule fois."
"[Avec la gauche d’aujourd’hui] on sera tous heureux de fumer du cannabis devant les portes de Pôle Emploi."