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Vous trouverez les réponses de l'Union Populaire Républicaine ci-dessous.

 
Quelles sont les mesures que veut prendre votre parti concernant l’Ecologie et l’Environnement ?
Avant de répondre à votre question, nous devons préciser un point important. Un point qui fait de l'Union Populaire Républicaine un parti politique réellement à part.

Si vous prenez connaissance des deux documents essentiels de l'UPR, c'est-à-dire notre Charte fondatrice et notre programme, vous verrez que nous cherchons à rassembler (temporairement) une majorité de Français de droite et de gauche pour reconquérir notre souveraineté et notre indépendance, notamment en sortant de l'Union européenne. L'UPR n'a donc pas vocation à s'exprimer sur des sujets non directement stratégiques et prioritaires (a fortiori lorsque ceux-ci sont polémiques et clivants) ou de trop anticiper sur le système politique – avec tous les grands choix que cela implique – dont les Français pourront décider démocratiquement de se doter une fois qu'ils auront recouvré la capacité de le faire.

Il y a quantité de sujets importants mais nous estimons qu'ils doivent être considérés comme secondaires tant que l'existence de la France en tant que nation libre est gravement menacée. Il faut donc dégager une hiérarchie de priorités en distinguant ce qui est stratégique et qui engage la totalité du peuple français d’un côté, de ce qui est politique et conjoncturel et qui oppose les Français entre eux d’un autre côté.

Le nucléaire, le choix de la politique environnementale sont certes des sujets importants pour l’UPR mais ils le sont indubitablement moins que l’urgence absolue à faire sortir au plus vite la France du désastre économique, social, monétaire, financier, agricole, industriel, éducatif, scientifique, culturel, linguistique, diplomatique, géopolitique, militaire, démocratique, politique et moral dans lequel nous entraînent l’Union européenne, l’euro et l’OTAN.

L’UPR considère qu’il est inutile de se diviser sur des sujets de société sur lesquels nos hommes politiques n’ont aucune prise dans la mesure où l’essentiel du pouvoir a été transféré à la Commission européenne à Bruxelles, celle-ci étant, comme le Parlement européen, peuplée d'assiégés volontaires des lobbys.

Par exemple, saviez-vous que l’Union européenne oblige les États membres à introduire des OGM sur leur territoire ? Sous le lobbying suspecté de Monsanto et de BASF, la Commission européenne impose de plus en plus d’OGM. En juillet 2010, 6 nouvelles variétés de maïs génétiquement modifiés étaient autorisées pour une durée de 10 ans, destinés à l’alimentation humaine et animale.

Les marges de manœuvre des États membres sont très faibles en raison notamment de l’article 114 du traité sur le fonctionnement de l'Union européenne (TFUE). Quand des États veulent résister, c’est à eux de prouver que les OGM sont un risque pour la santé, faute de quoi, ils sont condamnés à payer. Ainsi la France, dont le moratoire de février 2008 relatif au Mon810 (maïs transgénique) a déjà été mise en cause par la Cour de Justice de l’UE « faute de preuves scientifiques de risque probant ». Elle a été condamnée par la Cour européenne de Justice à payer, en décembre 2008, une somme forfaitaire de 10 millions d’euros pour avoir tardé à transposer en droit interne la directive européenne 2001/18/CE du 12 mars 2001 relative à la dissémination volontaire des OGM dans l’environnement.

Le Parlement européen est totalement impuissant, ce dont les eurodéputés « Verts » s’accommodent visiblement volontiers, une fois empochée leur gratification mensuelle de 15 000 €. Ces derniers se disent prêts à mener un combat anti-OGM, pourvu qu’il soit européen. Ils restent par ailleurs, eu égard à leur fonction, étonnement silencieux au sujet de l’article 114 qui ôte aux États le pouvoir de décider librement d'une interdiction des OGM. Pour ne pas nuire à un éventuel mandat rémunérateur, une grande partie de l’élite politique a jeté des passerelles entre une carrière politique nationale et européenne. Il en résulte des contradictions terribles entre le discours et les actes : si les députés et ministres avancent le principe de précaution à l’égard des OGM, ils rejettent avec la même ardeur toute idée de remise en cause de l’édifice européen, acquis à la solde des lobbys.

Selon le sondage IFOP du 23 septembre 2012, 79 % des français se montrent inquiets face aux OGM. L’UPR propose l’interdiction des OGM à destination de l’alimentation humaine et animale. Il s’agit de la proposition 14 du programme de libération nationale. En étant sortie de l’UE, la France n’aura pas à justifier cette position qui semble pourtant éminemment démocratique au regard de l’opinion publique.

Le programme de l’UPR va même plus loin puisqu’il s’agit d’assurer l’élévation et la sécurité du niveau de vie des agriculteurs et de se soucier de la qualité des aliments. Concernant la politique énergétique, conformément à notre souci constant de vérité, nous savons, nous disons, et nous expliquons que les questions énergétiques constituent un sujet très complexe, où les évolutions sont forcément assez lentes.

Ainsi, même les opposants les plus résolus à l’énergie nucléaire conviennent qu’il n’est pas possible, compte tenu des besoins de la France et de son parc de production électrique actuel, d’y renoncer du jour au lendemain.

A contrario, même les partisans les plus acharnés de l’énergie nucléaire ne peuvent pas nier que les catastrophes de Tchernobyl et de Fukushima interpellent la conscience de l’humanité toute entière. Ils ne peuvent pas non plus oblitérer le fait que, grâce à des progrès techniques considérables, les procédés à énergies renouvelables (et tout spécialement l’énergie solaire) voient leur rentabilité, naguère très faible, devenir de plus en plus compétitive par rapport aux énergies classiques.

Nous expliquons aussi que toutes les formes d’énergie posent des problèmes. Y compris d’ailleurs l’énergie solaire dont les panneaux nécessitent une forte consommation de « terres rares », dont la Chine est le principal pays détenteur.

Ceci étant posé, nous rappelons que notre programme a prévu de lancer un grand débat national sur les questions énergétiques, après notre accession au pouvoir.

Nous veillerons à mener un débat approfondi et honnête. Ni superficiel, ni manipulatoire. Nous veillerons à ce que ce débat donne la parole, dans les grands médias, à tous les intervenants, et cela de façon équilibrée et loyale. Donc y compris, bien sûr, à ceux auxquels cette parole est presque toujours refusée.

Une fois ce grand débat conduit devant le peuple français, nous demanderons à celui-ci de trancher en décidant par lui-même ce qu’il veut par référendum (cf. Programme de libération nationale, chapitre 19, page 22).

Pour ôter à ce type de consultation tout caractère plébiscitaire ou hâtif, nous proposerons des questions à choix multiples, afin de bien nous assurer que la décision des Français puisse s’exprimer de façon réfléchie et nuancée. En un mot : adulte.

Mais insistons une fois encore : l'UPR propose en somme de rétablir l'essentiel – la souveraineté, l'indépendance, la démocratie –, sans lequel aucune politique alternative n'est envisageable, quel que soit le domaine. Une fois ceci acquis, il redeviendra sensé d'aborder d'autres sujets car les Français auront retrouvé un pouvoir de décision.


Par Equipe UPR

 

Quelles sont les mesures que veut prendre votre parti concernant l’Union Européenne ?
Créée le 25 mars 2007, jour du 50e anniversaire du traité de Rome, l’Union Populaire Républicaine se fixe pour objectif de rassembler tous les Français, quelles que soient leurs convictions politiques ou religieuses et leurs origines sociales et ethniques, pour rétablir la démocratie en France, redonner à notre pays son indépendance et au peuple français, sa souveraineté. Nous voulons également que la France redevienne le porte-parole de la liberté et une force de paix dans le monde.

Nous sommes le seul mouvement politique à expliquer que la France ne peut reconquérir son indépendance et retrouver le chemin de la démocratie que par la sortie de l’Union européenne, de l’euro, ainsi que de l’OTAN, qui n’est que la face militaire, belliqueuse et néo-coloniale, de l’UE.

Nos analyses sont étayées, documentées ; nos solutions, conséquentes et salutaires.

Toutes preuves historiques à l’appui, nous démontrons à nos concitoyens que la « construction européenne » n’a pas du tout été inventée par la France et l’Allemagne comme on nous l’enseigne, mais par les États-Unis d'Amérique à la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Robert Schuman et Konrad Adenauer n’ont été que les exécutants de ce stratagème ingénieux, conçu par Washington en pleine Guerre froide. Jean Monnet, autre « Père de l'Europe », était en fait un agent d'influence des États-Unis et des puissances financières. Sous couvert « d’assurer la paix », la construction « européenne » est une Tour de Babel délibérément ingérable, tirée à hue et à dia par des intérêts nationaux divergents dans de nombreux domaines. Ce système autobloquant est justement ce qui permet aux dirigeants américains de domestiquer l’ensemble du continent européen à leur profit, car ils sont les seuls à avoir la puissance et l’influence suffisantes pour fixer les orientations stratégiques de cet attelage absurde.

Toutes preuves juridiques à l’appui, nous démontrons aussi qu’aucun changement réel ne peut plus avoir lieu en France dans le cadre de notre appartenance à l’UE. Car tous les grands choix politiques, économiques, sociaux, diplomatiques, etc., sont désormais imposés par les traités européens ou décidés par une oligarchie euro-atlantiste non élue, sans que les citoyens n'en aient conscience. Pour lutter contre les délocalisations, par exemple, il faudrait que la France dénonce plusieurs articles des traités européens, et notamment les articles 32 et 63 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne (TFUE). Il faut en effet savoir que ces articles promeuvent les délocalisations industrielles puisqu’ils interdisent expressément toutes les restrictions aux mouvements de capitaux entre les États membres de l’UE eux-mêmes, mais aussi entre les États membres et les « pays tiers » ; ils imposent même de promouvoir les échanges commerciaux avec les « pays tiers », c'est-à-dire les importations de produits délocalisés !

Nous sommes convaincus que la situation est extrêmement grave puisque ce qui est en cause désormais est rien moins que la survie de la liberté, de la démocratie, du niveau de vie, du patrimoine et du rayonnement universel de la France.

À la différence de ce qu’osent faire tous les autres partis politiques, nous nous refusons à lancer des propositions en sachant qu’elles sont inapplicables dans le cadre des traités européens. Nous ne proposons pas davantage une « Autre Europe », dont tout le monde sait bien qu'elle ne verra jamais le jour puisqu’il faudrait l’accord unanime des 26 autres États membres qui défendent chacun des intérêts divergents. Nous dénonçons sévèrement les stratégies malhonnêtes et manipulatrices de certains partis politiques qui consistent à faire croire que la France peut sortir de l’euro sans sortir de l’Union européenne. En effet, c'est juridiquement impossible. L’UPR est un parti légaliste qui refuse toute ambiguïté.

La sortie de l’Union européenne est donc l’élément clé de notre programme de libération nationale. Cette mesure peut être mise en œuvre de façon légale et sereine par l’application de l’article 50 du TUE (traité sur l’Union européenne) qui dit notamment ceci :
1. Tout État membre peut décider, conformément à ses règles constitutionnelles, de se retirer de l’Union.
2. L’État membre qui décide de se retirer notifie son intention au Conseil européen. À la lumière des orientations du Conseil européen, l’Union négocie et conclut avec cet État un accord fixant les modalités de son retrait, en tenant compte du cadre de ses relations futures avec l’Union. Cet accord est négocié conformément à l’article 218, paragraphe 3, du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne. Il est conclu au nom de l’Union par le Conseil, statuant à la majorité qualifiée, après approbation du Parlement européen.
3. Les traités cessent d’être applicables à l’État concerné à partir de la date d’entrée en vigueur de l’accord de retrait ou, à défaut, deux ans après la notification visée au paragraphe 2, sauf si le Conseil européen, en accord avec l’État membre concerné, décide à l’unanimité de proroger ce délai.


L’article 50 prévoit donc comment un État membre de l’Union européenne peut décider souverainement d’en sortir. L’existence même de cet article prouve que reconquérir notre indépendance est possible – puisque c’est prévu et que cela peut se faire sans drame à travers un processus de négociation avec les autres États membres.

Il faut préciser pour finir que la sortie de l'UE ne signifie pas que la France va se refermer sur elle-même ; c'est le contraire qui est vrai. Une fois notre indépendance recouvrée, nous nous rouvrirons enfin sur le monde, et notamment sur les pays de la francophonie, dans un esprit de coopération et de concorde. Nous romprons avec la dangereuse théorie du Choc des Civilisations promue par les stratèges américains et nous (re)nouerons des liens (dont l'UE nous privait) avec les pays du globe qui attendent que la voix spécifique de la France se fasse de nouveau entendre dans le concert des nations.

Par Equipe UPR




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