Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

NRF.gif

 

Première partie :

 

1) Chapitre 1 : Cherchez des informations sur la vie et sur l’œuvre de Jorge Semprun et sur les circonstances de la composition du roman.

 

2) Quel est le point de vue narratif ?

 

3) Où et quand se déroule le début du récit ? Précisez le contexte.

 

4) Le narrateur pense-t-il que l’on peut tout dire ?


5) Pense-t-il que l’on peut tout entendre (comprendre) ? A quoi fait-il allusion ?


6) Pourquoi les deux officiers français ont-ils « un regard affolé » ? A quoi réagissent-ils ?


7) Pourquoi le narrateur se considère-t-il comme un "revenant" ?


8) Qui est Maurice Halbwachs ?


9) Chapitre 2 : Qu’est-ce que le Kaddish ?

 

10) A qui le survivant juif lui fait-il penser ?


11) L’anecdote du jeune soldat allemand à Semur-en-Auxois : pourquoi le narrateur hésite-t-il à tirer sur lui ? A quel autre moment du récit est-il question de cette anecdote ?


12) Quel rôle la culture (la musique et la poésie) joue-t-elle au sein de l’univers concentrationnaire ?


13) Quel est le travail du narrateur au sein du camp ? En quoi ce travail est-il "kafkaïen" ?


14) Qui est Giacometti ? A quoi les œuvres de Giacometti lui font-il penser ?


15) Quel rapport le narrateur fait-il entre le récit de Kaminski sur le Sonderkommando d’Auschwitz, le livre de Kant La Religion dans les limites de la raison et le roman d’André Malraux La lutte avec l’Ange ? Quel problème André Malraux cherche-t-il à résoudre ? (Voir aussi pg. 120 et suivantes la discussion avec le lieutenant Rosenfeld)


16) Quel éclairage sur le nazisme et les camps le narrateur trouve-t-il dans l'Essai sur la liberté de Schelling (cf. page 89)


17) Qui est René Char ? Pourquoi le narrateur s'intéresse-t-il à son oeuvre au point de déclamer un de ses poèmes au milieu du camp ?


18) Pourquoi le jeune officier français est-il interloqué par le récit du narrateur ? A quoi s'attendait-il ? (cf. pg 99 et suiv.)


19) A quel endroit du roman est-il à nouveau question du jeune officier ?

 

20) Le narrateur a-t-il l'impression que la vie culturelle en France a beaucoup changé entre son arrestation et sa libération du camp ? Quelle conclusion en tire-t-il ?


21) Que représente Goethe ? Pourquoi le narrateur et le lieutenant Rosenfeld marchent-ils sur ses traces ?

 

22) Quel est le rapport entre Goethe et Léon Blum ? (cf. pg. 130) ; pourquoi le narrateur insiste-t-il sur ce rapport ?

 

23) Quelle différence le narrateur établit-il entre la conception heideggerienne de la mort dans Sein un Zeit (Etre et Temps) et celle que lui a fait découvrir l'expérience du camp ?

 

24) Comment raconter ? Pourquoi raconter ? Quelles sont les deux formes de témoignages (page 167) ; permettent-ils d'appréhender de la même façon les mêmes événements ?

 

25) Pourquoi, selon le narrateur, est-il difficile de parler de l'expérience concentrationnaire ? Pourquoi faut-il cependant en parler ? (cf. pg. 183)

 

26) Le narrateur se sent-il coupable d'avoir survécu ? Quel sentiment éprouve-t-il ? (pg. 183)


 

 

 BIOGRAPHIE :

 


Jorge Semprun est né le 10 décembre 1923 à Madrid.


En 1937, pendant la guerre d'Espagne, sa famille s'exile en France. A Paris, il suit sa scolarité puis étudie la philosophie à la Sorbonne.


En 1941, il adhère à l'organisation communiste de la Résistance des Francs Tireurs et Partisans.


En 1942, il entre au parti communiste espagnol.


En 1943, il est arrêté par la Gestapo et envoyé au camp de concentration de Buchenwald.

Il rentre à Paris en 1945.


Jusqu'en 1952, il sera traducteur auprès de l'Unesco.


A partir de 1953, il coordonne les activités clandestines de résistance au régime de Franco au nom du Comité Central du parti communiste espagnol en exil puis il entre au Comité Central et au bureau politique.


De 1957 à 1962, il anime le travail clandestin du parti communiste dans l'Espagne de Franco sous le pseudonyme de Federico Sanchez.


En 1963, il reçoit le prix Formentor pour "Le grand voyage".


En 1964, il est exclu du parti en raison de divergences sur la ligne du parti. Il se consacre alors à son travail d'écrivain et de scénariste.


En 1969, il reçoit le prix Fémina pour "La deuxième mort de Ramon Mercader".


De 1988 à 1991, il est Ministre de la culture du Gouvernement espagnol.


En 1994, il reçoit le Prix de la Paix des Editeurs et Libraires allemands.


Le Prix Fémina Vacaresco 1994 et le Prix Littéraire des Droits de l'Homme 1995 lui ont été décernés pour L'écriture ou la vie. il a également reçu le prix de la ville de Weimar en 1995 et le prix Nonino (Italie) en 1999.


Il est élu à l'Académie Goncourt en 1996.


Jorge Semprún est décédé le 7 juin 2011 à Paris. Il est inhumé « dans le drapeau républicain espagnol » à Garentreville en Seine-et-Marne. 


BIBLIOGRAPHIE :


Aux éditions Gallimard :


Le grand voyage, roman, 1963 Prix Formentor
L'évanouissement, roman, 1967
La deuxième mort de Ramon Mercader, roman, 1969 Prix Fémina
La montagne blanche, roman, 1986
L'écriture ou la vie, souvenirs, 1994 Prix Fémina Vacaresco
Adieu, vive clarté... blanche, 1998
Le retour de Carola Neher, le Manteau d'Arlequin, 1998

Chez d'autres éditeurs :

Autobiographie de Federico Sanchez, réédité en Points-Seuil en 1996
Quel beau dimanche! Grasset 1980
L'Algarabie, Fayard 1991, Gallimard Folio 1997
Netchaïev est de retour, Lattès 1991
Federico Sanchez vous salue bien, Grasset 1993
Mal et modernité, Climats 1995


Filmographie :


La guerre est finie, scénario, 1966
Le «Stavisky» d'Alain Resnais, scénario, 1974
 


Source : Académie Goncourt

 

 

 

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :