Ils ne pardonnaient pas au roi d’être royal et de haïr la guerre.
Edelweiss d’argent blessé par la bassesse, où sont les singes qui te bafouèrent ?
Qui consola les gentianes bleues de ton regard ?
Où sont les lanternes de lune du traîneau de cristal où t’emportait la nuit ?
Où vit le cygne au chant magique ?
Tant d’amour et si peu de partage !
Tant de montagnes et de glaciers où nul ne pouvait te suivre !
Tant de châteaux et n’habiter nulle part !
La foudre qui s’abat choisit les plus beaux arbres,
Mein sanfter König ohne Freunde
Désormais consolée d’étoiles, ta solitude se berce à l’infini dans la constellation du cygne.